Les programmes et les installations
Il faut pouvoir miser sur un vaste éventail d’installations – des studios, centres culturels, galeries d’art et théâtres – et sur l’accès à des programmes d’activités artistiques et récréatives abordables pour favoriser l’instauration d’un secteur des arts et des loisirs dynamique.
La participation du public
La participation aux arts, à la culture et aux loisirs englobe l’engagement direct des gens dans des projets artistiques ou athlétiques, de même que l’appréciation d’activités d’autrui – tant d’amateurs que de professionnels – dans les domaines des arts visuels, des arts de la scène et des sports. La recherche révèle qu’il y a des corrélations entre la santé des individus et de la collectivité et le niveau de participation aux arts, à la culture et aux loisirs.
L’économie du secteur des arts et des loisirs
Le secteur des arts, de la culture et des loisirs ne pèse pas très lourd pour ce qui est du nombre d’emplois, et les revenus qu’on y gagne sont notoirement peu élevés. Néanmoins, les retombées économiques des arts, de la culture et des loisirs ne se mesurent pas, loin de là, qu’en termes d’emplois et de revenus directs. Un milieu culturel vigoureux contribue à attirer, à retenir et à motiver une main-d’œuvre créatrice. Il stimule aussi d’autres éléments de l’économie, en particulier le secteur de l’hôtellerie.
Les investissements dans les arts
Les administrations municipales, provinciales et fédérale investissent dans les arts et la culture en attribuant des subventions aux artistes et aux organisations du secteur, ainsi que moyennant le financement de leur fonctionnement et de leurs immobilisations. Les administrations gouvernementales peuvent aussi subventionner l’accès aux arts. Et si elles subventionnent les arts, c’est pour une foule de raisons, dont les retombées économiques qui en résultent et les avantages sociétaux plus vastes ainsi générés. Les investissements gouvernementaux s’avèrent parfois des leviers cruciaux pour tirer parti de revenus d’autres sources.